REVUE DE PRESSE
A PROPOS DE JE T'AIME A LA FOLIE :
Bestamericanpoetry.com
A propos his work in general and his latest work, J̵e̵ t̵’a̵i̵m̵e̵ à la Folie, choreographer François Lamargot told me last year that he works out from the idea our civilization suffers from “a handicap of the heart” that prevents it from recognizing its own destructiveness.
By “heart” Lamargot means the balance between physically hearing, seeing, touching, tasting and smelling and reacting or feeling. Feeling starts with self. He says people have become so absorbed in themselves that they’ve forgotten how to look around to see how they’re affecting the world around (See: François Lamargot on hybrid dance and the tragedy of the handicapped heart).
As far as creating dance performance is concerned, Lamargot says that to get his thinking across, he wants to strain every sinew of theatrics, dance and multimedia to bring his audience to “sensibility” of this civilizational handicap, rather than intellectual understanding of it – he wants to get beyond words and work on imagination.
And, it turns out, in the dancing, Lamargot creates a prolonged, delicious thrill, a crowd-pleasing thrill, that leaves a spectator sitting wondering just where they are for a minute or two after the applause stops.
Karine, my companion, who was sitting in the seat just next to me waited a minute before smiling, raising both eyebrows and asking how I’d describe what had just happened. Smiling back, I said something like “Pina Bausch grooving on an Apocalypse Giselle”. Then, something like, “Flawlessly executed by woke break dance brats from the down-at-heel social club in the trash-strewn lot we call the 21st-century...” I said, “Exciting”.
Karine laughed and, as she does, puffed out a light raspberry, saying, “‘Post-Apocalypse’, you mean”. Then, after a few seconds she says, “They sure can dance”. She’s right.
Aided and abetted by well-aimed multi-media effects and great sound arrangement (music including Vivaldi, Gloria Patri; Tom Waits, The Earth Died Screaming; and Taku Sugimoto, Spring) Lamargot’s dance performers are as uninhibited as any 80s-style experimentalist free expressionists. But they never romp. There’s not a tic without an elegant purpose. And within the first 10 minutes, the trim, athletic hip-hop trained performers subjugated Karine and I with a “beyond Waltz” that was both professionally knowing and inspired; alone and together, they radiated the noble sensuality of Waltz …
This, what, respect for? genre movement and the layers of expression and sense beneath it characterized the whole piece… Honestly, Karine and I agree, the mix and range of dance skill is so smooth and matched to sensibility as to be indescribable.
Lamargot does claim to have turned out his own genre in what everybody these days seems to be calling “hybrid dance” – combining moves and even ideologies from theater, performance, ballet, modern, contemporary and urban dance in a single choreographic piece. Maybe that’s right. And maybe, in reality, all choreographers have always been doing that. Be all that as it may J̵e̵ t̵’a̵i̵m̵e̵ à la Folie is dance performance with something quite wonderful in it. "
Paul Tracy Danison , 26 Mars 2024
blog.oopsie.fr
" Tout en poésie et en délicatesse, la compagnie Poisson/Buffle pointe du doigt l’absurdité de notre société. Un spectacle rempli de beauté et d’humour.
Le talentueux metteur en scène François Lamargot s’est dépassé pour mettre sur pied son nouveau show, Je t’aime à la folie avec sa compagnie Poisson/Buffle. Danse, vidéo, théâtre, dans sa nouvelle création, les genres s’entremêlent pour vous permettre de voyager à travers toutes les émotions. Effectivement, les comédiens et comédiennes pourront vous faire rire, vous faire rêver, et même vous effrayer ! C’est simple, le sens de Je t’aime à la folie, c’est qu’il n’y en a pas. Et cela en fait toute sa beauté. "
Ismaella Diallo, 16 Octobre 2023
journal-laterrasse.fr
" François Lamargot présente « Je t’aime à la folie », une fête irraisonnée.
François Lamargot bénéficie du label Passerelles, qui permet notamment une visibilité notable au sein des festivals. Il nous entraine dans une fête à double sens qui révèle, avec sept danseurs, un certain état du monde. "
Nathalie Yokel, 20 Septembre 2023
A PROPOS DE PULSE :
Sud Ouest
« Retour gagnant des Soirs bleus avec « Pulse »
Pulse de la compagnie du Poisson/Buffle a séduit le public monastérien au spectacle des Soirs bleus.
Parmi les nombreux spectacles des Soirs bleus distillés par Grand-Angoulême et son président Xavier Bonnefont, ainsi que Gérard Desaphy, vice-président en charge de la culture, celui programmé sur la commune de Mouthiers-sur-Boëme a tenu toutes ses promesses. En effet la date du samedi 23 juillet avec une météo des plus favorables à la festivité du jour, à savoir « Pulse » de la compagnie du Poisson/Buffle (danse), a permis à plus de 300 personnes d'assister dans de bonnes conditions au spectacle gratuit qui s'est déroulé place du chevet de l'église.
Le Corps au centre :
La compagnie souligne que dans la création de « Pulse », prend source dans une commande réalisé pour le Jeune Ballet Européen, en 2020, à Paris. Cette nouvelle pièce se concentre donc sur les corps et ce qu'ils peuvent raconter à eux seuls pour une thématique percutante, en lien avec notre société actuelle et notammeent la compétition extrême à laquelle tout être humain est soumis.
Les spectateurs eux ont été séduits par une distribution de qualité et par des interprètes à la hauteur de leur talent. Ils ont répondu à la fin de la pièce par de chaleureux applaudissements.
Philippe Rebeix, 26 juillet 2022
Charente Libre
La Danse contemporaine, ça « Pulse »
« Nous avions prévu 300 chaises, précise Michel Cartelet, maire de Mouthiers, mais nous avons dû en rajouter ! » Sur la place du chevet de l'église, les spectateurs étaient donc nombreux samedi soir pour assister au spectacle proposé, dans le cadre des Soirs bleux, par la Compagnie du Poisson/Buffle : « Notre compagnie tient son nom des signes astrologiques, explique Klara Morhain, chargée de production. Elle est basée à Paris et existe depuis une quinzaine d'année. Elle se compose de François Lamargot, chorégraphe, et de sept danseurs. »
En tenues de ville, les danseurs effectuent des déplacements très rythmés parfois si proches les uns des autres qu'ils composent un véritable bloc mobile. Passant par le sol, ils proposent des moments qui font penser à des éveils avant de reprendre leurs déplacements, et l'on comprend pourquoi le spectacle se nomme Pulse car tout semble naître d'élans, de bousculades. En même temps, les danseurs émettent des sons qui accompagnent leurs gestes et donnent l'impression que la scène ne leur suffit pas puisqu'ils n'hésitent pas à en descendre ! « Le chorégraphe s'es inspiré de la frénésie de la société, donnant à chaque danseur l'occasion d'évoluer selon ses caractéristiques » poursuit Klara Morhain. Au total, un spectacle de danse contemporaine, qui fait également appel à des techniques urbaines, que le public a ovationné, sensible également à l'humour qui se dégage de certaines évolutions. « J'aurais bien aimé que ça dure un quart d'heure de plus ! » a confié un spectateur, résumant ainsi ce que beaucoup ont ressenti.
25 juillet 2022
Bestamericanpoetry.com
« This year’s Bien Fait ! opened in the Micadanses courtyard with François Lamargot’s exceptionally finished hip-hop company moving forward on his, Lamargot’s, unfinished hip hop-inspired contemporary piece, Pulse.
The spirit of Pulse made me think also of the sense behind Carly Simon’s tune Attitude Dancing: you make ‘em, you use ‘em, they belong to you. Pulse trades “attitude” for “emotion” and says “you are ‘em.”
Lamargot focuses choreographically on emotion until the spectator is surprised to understand that emotion is body and body is motion – which might, later, at Le Louis Philippe, lead one to imagine that the emotion-body relationship might just be a body-motion or motion-body or ... Garçon!
Lamargot’s quantum hip-hop, if that’s what it is, is followed seamlessly by Erika Zueneli’s contemporary-style performance Para bellum (“Prepare for war”) – I must say, a fantastic erotic creation ! »
Paul Tracy Danison , 28 Octobre 2021
Toute La Culture.com
« Un Speed dating super Bien fait !
La 6ème édition du festival Bien fait ! démarre à Micadanses avec pas moins de quatre spectacles que l’on a dévorés en une soirée.
Un peu hors programme et en plein air, sur un plateau offert par la ville de Paris, une petite bande narquoise nous jauge de loin, commence par défiler, presque à marche forcée. Il faut trouver sa place pour danser, mais aussi pour passer sur le devant de la scène. Contorsions, glissements de hip hop, de break au parfum de krump. Si ça pulse, c’est qu’il suffit d’un rien pour que la texture sonore ici aux petits oignons ne craque le mouvement. Il suffit d’un rien pour que tout parte en sucette. Le pulse se précipite vers une forme de syncope , les mots se perdent entre le recraché et l’onomatopée pour s’achever sur le grand air de Norma que l’on finit par siffler. »
Antoine Couder, 16 Septembre 2021
A PROPOS DE REFLETS :
L'Humanité.fr
« (...) Mention spéciale à François Lamargot. Il interprète, dans le cadre de Cités Danse Connexion, sur les conseils de la chorégraphe Laura Scozzi, le solo Reflets. Il y a quinze ans, il commençait le break et la danse au sol à la MJC des Hauts de Belleville, tout en suivant des cours de danse classique. Six ans de barre ! Dans Reflets, il fume une cigarette devant un miroir d’où surgissent, un par un, cinq à six personnages filmés, projetés sur une palissade. Ils prolifèrent et empiètent sur sa tranquillité d’homme seul. Lamargot danse par à-coups (tour en dedans, relevé, piqué, mais aussi break et mouvements bloqués). Il n’en peut plus, nous dit-il, « de la représentation de soi communiquée par les réseaux sociaux ». « Dans l’univers de la danse, précise-t-il, on passe beaucoup de temps sur les sites. C’est dangereux. » Avec Reflets, il a voulu stopper la course-poursuite entre soi et l’image de soi, quitte à rétrécir son image et, d’une pichenette, l’envoyer valdinguer dans le décor. »
Muriel Steinmetz, le lundi 15 Janvier 2018
Toute La Culture.com
« La belle schizophrénie de François Lamargot
(…) Pour François Lamargot, il s’agit de se placer face au miroir, et de s’y regarder. De le questionner des yeux même. On entendrait presque la mauvaise reine demander : « Miroir, miroir joli, Qui est la plus belle au pays? ». Lui est en mode dandy, clope au bec, sûr de lui. La musique est jazzy. Tout va bien. Mais, ça ne dure pas, tout vrille comme ses pas, tout chancelle, tout se désaxe, les chevilles se tordent. Oui, tout vrille, car il est plusieurs : rockeur, femme, yogi... il est plusieurs et se demande qui il est vraiment. Le jazz s’en va, le hip-hop vient et sa chorégraphie qui pourrait glisser dans un ennuyeux jeu clownesque devient très pertinente. L’interaction entre le lui réel et le lui virtuel fonctionne sans effet gadget. Un cabaret, onirique et drôle, c’est à cela que nous invite François Lamargot qui s’est d’ailleurs associé à Laura Scozzi qui assure ici le regard extérieur. (...) »
Amelie Blaustein Niddam, le lundi 15 Janvier 2018
Télérama'Sortir
« Le spectacle s'appelle Reflets et entend faire miroiter les multiples visages d'un seul homme. Le nouveau spectacle en solo du danseur et chorégraphe hip-hop François Lamargot fait vibrer la capacité de s'inventer autre et pourtant toujours profondément le même. Entre réalité et fantasme, vidéo et danse, duo et duel, ce dialogue avec soi-même entend bien emporter le public au-delà du miroir. Hip-hoppeur de premier plan, passé par des apprentissages techniques variés mais aussi l’expérience de la rue et des battles, François Lamargot a fondé son groupe, La XXe Tribu, en 2008. Il chorégraphie, continue à collaborer comme interprète avec Laura Scozzi et réalise également des courts métrages. Il est à l'affiche de Suresnes cités danse. »
Rosita Boisseau (R.B.), le mercredi 10 janvier 2018
Critiphotodanse
« (…) Reflets qui est sa 4ème pièce n’est pas un ballet plein d’un humour rayonnant mais, au contraire, une œuvre austère et sombre, certes auto-dérisoire et loufoque, qui trouve ses origines dans un court métrage cinématographique éponyme d’une extrême noirceur, Reflet, que François Lamargot a réalisé en 2015, alors qu’il s’initiait au 7ème art, parallèlement à son activité de chorégraphe. L’œuvre chorégraphiée qu’il présente aujourd’hui, beaucoup moins sombre que le film, se veut tout de même une satire de la société actuelle dans laquelle l’Homme - entre autres le cortège de nos politiciens - a une fâcheuse tendance à chercher à se mettre constamment en avant et à se représenter à outrance. Elle met en scène un Janus à deux visages, seul sur scène face à un miroir qui va bien évidemment le démultiplier, lui et sa personnalité. Pas toujours facile de décrypter ce qui va se passer, confrontation, lutte, pacte ou ignorance ? Ou tout à la fois ? Attirance, indifférence, répulsion, peur, rejet total sont les différents sentiments qui traversent la rampe par l’intermédiaire d’une danse virile et forte mais aussi, douce, voire parfois même empreinte de sensualité, mêlant avec beaucoup de bonheur hip- hop et danse contemporaine. Mais aussi et surtout par le truchement de la vidéo, laquelle interfère avec la chorégraphie, dédoublant - voire démultipliant - le personnage, révélant la fourberie et la noirceur de son âme, et ce, paradoxalement, sans prétention aucune et, dirais-je même, de façon estompée, avec humour et légèreté ! Où est le vrai du faux ? Une image certes ludique et un peu fantaisiste, voire schizophrénique de la société dans laquelle nous sommes plongés mais qui évoque toutefois parfaitement les travers et outrances de notre enfermement. Kubrick, Scorcèse et Fellini ne sont pas bien loin ... (...) »
Jean-Marie Gourreau, le mardi 17 Avril 2018
Paris-art.com
« Dans la même veine d’une dualité entre image idéalisée, miroitant à l’horizon du désir, et image intriquée dans le réel : François Lamargot présente Reflets. Une chorégraphie qui mobilise elle aussi la vidéo. Pour un solo peuplé d’images, de clones, de spectres, comme autant de potentialités hésitant à s’actualiser. Un jeu dansé sur le réel et ses représentations. Illusions et rêves s’y fondent pour la mise en œuvre tantôt d’une fuite, tantôt d’une poursuite, de soi à soi. Entre Narcisse et Méduse, les reflets fascinent. Et de lacs, en flaques, les espaces urbains accueillent encore des pans de rêves miroitants. Le temps d’une averse ou d’un festival : le ciel tombe par terre et les danseurs acrobates s’envolent. Pour ramener sur scène La partie immergée de l’iceberg, ou l’autre côté du miroir avec ses Reflets. Une soirée onirico-hip hop, où la danse vient ainsi ranimer l’asphalte. »
Paris Art.com, le mercredi 10 janvier 2018
Chroniques culture
« François Lamargot, on joue ... et le jeu est un jeu de cache-cache avec... lui-même ! REFLETS, l’homme et son reflet… L’homme face à son miroir…Miroir que dis-tu de moi … F. Lamargot s’emmêle les images à foison. À la façon de « La rose pourpre du Caire » il sort de l’écran, ou bien il y entre, se démultiplie et vit plusieurs vies, rajeunit ou vieillit à l’envie. C’est drôle et bien fait. Images réelles et filmées s’associent merveilleusement bien et souvent on se dit quel timing ! Vif d’esprit, vif sur le plateau il s’inquiète de cette image de lui, dont il perd le contrôle ou s'en étonne… Homme du direct, il nous amuse avec ses facéties … »
Odile Cougoule, le jeudi 03 mai 2018
Toute La Culture.com
« ... Ce matin, pour présenter le programme, un autre danseur est présent. Il s’agit de François Lamargot dont on avait adoré Reflets en 2018 à Suresnes Cité Danse. Lui bosse avec la talentueuse Laura Scozzi et il est actuellement en pleine création à Chaillot pour une pièce à venir à l’automne 21. Lui fait le show, propose une version du hip hop plus figurative, volontairement. Il s’intègre au quatuor, s’amuse d’équilibres sur une main. Balaise et drôle. »
Amelie Blaustein Niddam, 2 septembre 2020
A PROPOS DE GARDIEN DU TEMPS :
Ballroom revue N°5
« C'est une des belles et humbles surprises du Festival Suresnes Cités Danse de cette année. Nul besoin de s'attarder sur des surproductions hautes en couleurs portées par les gardien du temple du hip hop. Il suffit de regarder d'un peu plus près du côté des jeunes pousses, qui font confiance aux pleins et déliés du corps pour porter l'écriture hip hop vers une finesse encore à conquérir. François Lamargot est de ceux-là. Il n'est pas du sérail, a flirté avec la comédie musicale, la danse contemporaine, la danse africaine, tout en expérimentant son propre travail et en assistant le chorégraphe hip hop Anthony Egéa... Sa pièce Gardien du temps montre bien cette pluralité d'approches, quand le mouvement ne peut se réduire à un forme, une énergie, un espace. Il exprime sa capacité à construire un univers, à modeler l'espace et ses infinies variations, sans artifice, mais en puisant dans les fondamentaux de la danse. Appliqués au hip hop, cela donne une pièce vibrante, d'une grande simplicité, mais qui, si l'on gratte un peu, révèle une multitude de détails qui saisissent au vol notre regard pour mieux l'interpeller.
Si François Lamargot s'attache à l'idée d'un personnage – le fameux gardien – issu de ses lectures, la pièce ne prend sens qu'avec sa seule écriture et la présence des danseurs : huit corps très différents, d'abord informes, sans tête et culs renversés qui éprouvent le malaise à s'ériger. Ce sera chose faite, et sans cesse une quête pour chacun à trouver sa place, expérimentant à la fois une manière de se distinguer, et de se fondre dans le groupe. Un duo se forme avec des jeux de poids et de contrepoids, qui devient trio, qui se mêle et se démêle, se porte et s'emporte, jusqu'à intégrer la « tribu » des interprètes. L'intérêt de la chorégraphie réside dans les multiples façons dont le groupe se forme et se déforme, et dont chacun, au cœur des ensembles, cultive sa singularité. Et c'est un geste de tête, une façon de tourner, un bras ou une jambe qui traîne ou se décale... qui nous interpellent par petites touches. Des corps ciselés par fragments en plein mouvement, qui témoignent d'une belle intelligence de la danse. »
Vu au Festival Suresnes Cités Danse
Nathalie Yokel - Mars/Avril/Mai 2015
Financial Times
« … François Lamargot demonstrated similar qualities with Gardien du Temps. As the work began, his eight dancers were curled into an upside-down foetal position, like hibernating aliens; they woke and regrouped with precise musicality as the score by Jean-Charles Zambo surged in waves ... »
January 26, 2015 5:48 Suresnes Cités Danse, Théâtre Jean Vilar, Suresnes, France — review Laura Cappelle
A PROPOS D'AKASHA :
Le Sud Ouest
“… Moments de Grâce. Que dire encore ? Que la prestation de la XXè Tribu a marqué le festival de la mer hier après-midi ? Oui. Ces cinq danseurs ont offert durant 45 minutes une belle performance avec « Akasha ». Lorsque les individualités s’expriment au sein de la tribalité, la désynchronisation arrive à ne pas être dissonante.”
Sabine Menet, le 27 Septembre 2010
Radio Pluriel
” Et l’Homme advint … » avec AKASHA. Une pièce par laquelle XXe Tribu prend en charge l’histoire de la création, de l’océan primordial à la naissance de l’humanité.”
Petite chronique de Mo, le 20 Octobre 2013
Entrez dans la Danse
“… Le public a été particulièrement réceptif à la création de la compagnie XXe Tribu que nous avons programmé il y a 4 ans dans le festival “Entrez dans la danse, Fête de la danse”. A l’époque, cette jeune compagnie était déjà très prometteuse, hier, avec leur nouvelle pièce “Akasha”, François Lamargot confirme le chorégraphe en devenir qu’il est sans conteste. Il a su construire une pièce forte, qui respire, avec une écriture gestuelle originale et, avec des interprètes qui gardent leur individualité par le biais de décalages d’interprétations délicieux tout maintenant la cohésion de l’ensemble et la force d’impact de leur présence magnétique…”
Valérie Gros-Dubois, le 20 Avril 2013